Forum : Le défouloir
Une victoire dans le sang
(Pour les courageux :D)
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ryomaanime
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La guilde des sanguinaires
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Voila, je crée ce topic parce que j'ai envie de vous faire partager un de mes textes, que j'ai écrit pour une battle sur un autre forum.
Je vous préviens ; ce texte est long. Mais d'après les retour, il est plutôt bon. Vous pouvez le lire en plusieurs fois... ou d'une traite, comme vous le souhaitez. [align=center][s]La victoire dans le sang[/s][/align] Le guerrier allait bientôt craquer. Nork en avait rarement vu de tel. Ça faisait trois jours qu’il lui infligeait les pires tortures qui puissent exister, flagellation, brûlure, sel dans les plaies, alcool dans les plaies, ouverture du ventre, puis le recoudre, et il était maintenant proche de la mort. Mais il allait craquer. Nork était un maître des tortures, sanguinaire et sadique, il se délectait de ces séances. Quand le guerrier lui dirait, il le laisserait ici se faire dévorer par les charognards. Ses hommes étaient tranquillement installé dans le camp, assis, à manger, ou dormait. Les sentinelles étaient à leur place pas loin. La soirée était merveilleuse. « Nork ! Penjag a disparu ! » Son second était vraiment trop jeune, pensa t’il. Peur pour rien… « Il a dû partir soulager une envie en forêt. » « Mais c’est une des sentinelles ce soir ! » Vraiment, les mercenaires, ce n’est plus ce que ça a été. Avant, ils étaient forts, expérimentés. Maintenant, ils sont de plus en plus jeunes et avares. Nork était un guerrier assez âgé, mais toujours fort et massif. Il gardait toujours sa hache de guerre à proximité, car les nombreuses guerres auxquelles il avait participé lui avaient bien montré qu’il fallait toujours conserver au moins une arme à portée. Subitement, il sentit un danger arriver, il se leva, attacha ses cheveux en queue de cheval, et saisit sa hache. « Vous m’avez pris mon cheval, rendez le moi et vous vivrez. » La voix avait retentit derrière lui, froide, sûr. D’un coup, tous les hommes du camp éclatèrent de rire : L’homme était seul. « Je suppose que c’est non ? » Sans attendre de réponse, l’homme laissa tomber sa cape noire, et leva son bras gauche. Deux hommes tombèrent un carreau blanc dans la gorge. Deux autres lui sautèrent dessus, l’un s’effondra un couteau de lancer fiché dans son orbite droite. L’homme esquiva la charge du deuxième, et planta son second couteau dans son dos, sectionnant la moelle épinière. Il recula et parti dans la forêt, la nuit était sombre, et tout vêtu de noir, il était invisible sous les arbres. « Vous n’êtes déjà plus que six, et j’aurais mon cheval. » Nork courut vers son propre cheval, et lança à ses hommes : « Vite, on va à terrain découvert, il ne pourra rien contre six hommes ! » Chacun pris un cheval et parti, chevauchant au triple galop entre les arbres. La plaine était en vue, Nork se retourna. Ils n’étaient plus que trois. Il fit encore accélérer son cheval. Plus que vingt mètres. Il pouvait voir le haut de la colline. Plus que dix mètres, il pouvait voir la lune. Il arriva dans la plaine, il était seul. Il se retourna, dégaina son épée de sauta à terre. « Viens te battre, assassin ! Bat toi comme un homme, d’épée à épée ! » L’homme en noir s’approcha lentement. Puis il dit simplement : « Non. » Il leva une nouvelle fois son bras gauche, la petite arbalète à deux coups brilla sous la lune. Et pour Nork le monde devint obscurité. L’homme en noir parcouru tout le chemin pour récupérer ses carreaux, les essuyant sur les vêtements des morts. Arrivé au camp, il récupéra ses deux couteaux. Il eut le vague souvenir du marchand à qui il les avait fait faire, dans un pays de l’Est. Une partie d’acier blanc, une partie bleutée. Ils sifflaient sous la lune avec un reflet nacré. Ils étaient plus lourds que la moyenne, et pouvaient être utilisés pour le lancer ou le corps à corps. Une voix le héla et le tira de ses souvenirs. « Aide-moi s’il te plaît ! » L’homme en noir, qui avait remis sa cape, se retourna et vit un homme torturé, ensanglanté. « Pourquoi ? » La question était sincère, ce qui troubla momentanément le guerrier. « Et bien… Pour m’aider, pour sauver une vie humaine ! » « Mon cheval vaut bien plus qu’une vie humaine. Ai-je l’air d’un altruiste ? » « Détachez moi, et je partirais. S’il vous plais » L’homme en noir le détacha, et le guerrier tomba. Il s'était évanouit. son corps était parsemé de très nombreuses blessures, et seul il ne survivrait pas. Lorsqu'il se réveilla, il faisait jour, et il souffrait. « N’essaye pas de te relever, tu vas briser tes sutures. » Il regarda autour de lui, il était sur un cheval, qui lui était tiré par le hongre gris de l’homme en noir. Il m’a sauvé. Pensa-t-il. Pourquoi ? « Pourquoi te torturaient-ils ? » « Ils croyaient que je savais quelque chose. » « Tu ne veux pas en dire davantage, très bien, je n’en demanderais pas plus. » La journée passa lentement, dans le silence. Forêts et plaines se succédaient, lentement, silencieusement. Le guerrier dormait beaucoup, et se remettait plutôt vite. Quand il se réveilla, il demanda ou ils allaient, l’homme en noir répondit qu’ils s’arrêtaient à Rendah, et qu’il y serait déposé. Le soir, autour du feu, ils parlaient tranquillement. « Comment t’appelles-tu ? » demanda l’homme en noir « Berani, et toi, dis-moi ton nom. » « Les noms vont et viennent, et on m’appelle de beaucoup de manière différente » « Je sais qui tu es, donne moi ton premier, le vrai, nom que tu as porté. » « Kelin. » « Alors le plus grand assassin de cette génération ce nomme ainsi ? » Le Chemin jusqu’à Rendah se déroula sans embuche, et Berani se prépara à quitter son sauveur. Il lança un dernier regard, puis il parti, lentement. Il s’arrêta dans une taverne, et après avoir bu un pichet de vin, demanda une chambre et alla dormir. Il se réveilla le matin, et alla voir un contact au port. Dans les rues, de nombreuses prostituées l’appelaient, et il voyait des voleurs à la tire sévir un peu partout. Il bifurqua vers une petite ruelle. Le soleil n’y entrait jamais, la pierre, les pavés étaient humides. Plusieurs clochards se rafraîchissaient à l’ombre. Une ombre noire surgit devant lui, vite rejoins d’une seconde. Maintenant, direction Kegilaan, se dit le tueur. Ils avaient été suivis jusqu’ici, trois hommes à cheval. Berani ne devrait pas flancher. Il ne fallait plus perdre de temps. Retrouver Gila, le tuer. C’était simple comme mission. Enfin, si on ignorait ses défenses. D’abord, il allait falloir faire une halte à Fajar. Seul, sur un chemin de forêt, l’assassin avançait. Lentement, guettant tous bruits suspects. Il avait le vent dans le dos, un énorme avantage. Puis ce qu’il guettait se produisit, le bruit caractéristique… Deux hommes en noir, armés d’épées noires, avançaient vers lui. Berani dégaina. Hors de son champ de vision, un troisième homme sorti une dague, fine, mortelle, noire. Les deux hommes avançaient lentement, se tenant sur leur garde. Berani tenait son énorme épée de ses deux mains, et il plongea comme un tigre sur une gazelle. Il tenta un coup de taille, paré, esquiva lui aussi un vicieux coup d’estoc. Il sauta, ses deux pieds en avant, renversa un des hommes, tandis que le deuxième lui fit face. L’autre, derrière, rengaina sa dague, il avait été trop lent. Il dégaina alors une épée noire. Le troisième reprit ses esprits, mais à peine le temps d’ouvrir les yeux qu’une grande lame grise lui trancha la gorge. Se trouvant maintenant du bon côté, Berani fit volte face et courut, tournant à droite. Un homme en noir déboula, et sa tête roula au sol. Le piège le plus basique de tous les temps… attendre son ennemi au croisement. L’autre derrière, l’entailla, passant entre deux côtes, mais mourut aussitôt, d’un coup d’estoc. Combien étaient donc ces hommes ? Pas un seul n’avait émit le moindre bruit. De toute façon, pas le temps, il voyait déjà sa destination. Cinq hommes, massifs et rustres. Ils criaient comme des porcs à l’abattoir. Deux d’entre eux possédaient d’énormes haches de guerres, de celle qui peuvent broyer trois hommes en un seul coup de fauche. « Donne-nous tous tes biens, tout de suite ! Peut être que tu ne souffriras pas étranger… » « Cette proposition m’incommode voyez vous. Je vous propose autre chose, écartez vous et vous vivrez. » Cette phrase fut accueillie d’un rire grave et gras, émit par celui qui semblait être le chef. Il s’arrêta soudainement, s’étouffant dans son sang. Les quatre hommes le regardèrent, les yeux exorbités. « On va te faire la peau sale porc !! » Puis ils s’enfuirent dans la forêt, l’homme ne fit rien pour les retenir. Il chargea un second carreau dans son arbalète, au cas où. Puis il descendit de cheval, récupéra celui qu’il avait tiré. Il fallait vite sortir de cette forêt, sinon la corde de l’arbalète risquerait de se détendre. Il remonta à cheval, et le poussa cette fois au galop. Guettant encore une fois le bruit. La course le faisait souffrir. Une suture au torse, et une à la cuisse droite s’étaient brisées. L’entaille faite par le guerrier noir ne lui posa pas de problème. Les rues défilaient à la vitesse de l’éclair. Il y était presque. Deux cents mètres. La course le fatiguait énormément, et il arriva devant les portes à bout de souffle. De grandes portes de bois, renforcées de bronze. Autour, les murs mesuraient cinq mètres de haut. La porte, trois. Une voix derrière lui demanda de décliner son identité, ce qu’il fit. Alors, les rouages de la porte s’enclenchèrent. Deux jours étaient passés sans encombre, et les pillards n’étaient pas revenus. Il entra dans Fajar, la ville de sable. Elle se trouvait au milieu d’un petit désert, et toutes les maisons avaient la couleur du sable. La rue grouillait un peu trop à son gout, alors il prit le chemin un étage plus haut, sur les toits. Il trouva vite sa destination, la grande bâtisse, soutenu par les colonnes de marbre blanc. La maison du marchand Barang, l’homme qui gérait la plus grosse partie de sa fortune. Il entra par une fenêtre, trouva un serviteur et lui demanda de dire au maitre des lieux que l’homme en noir était là. Dix minutes plus tard, il fut invité à rentrer dans la chambre du vieillard. C’était un des seuls hommes que l’assassin « aimait ». Vieux, gros, même repoussant. Il venait des pays de l’Est et était très cultivé. Il était d’une intelligence remarquable, et était d’une loyauté à toute épreuve. Une fois, il avait failli mourir sous la torture pour le sauver. « Bonjour, j’ai besoin de retirer de l’argent. » « Combien, assassin ? » avait demandé, froidement, le marchand. « De quoi payer un bon guide qui connaisse la région de l’Ouest. » « Alors il est temps. Le tueur va encore frapper. Très bien. Tu ne me demande pas comment vont tes affaires ? » « Je sais que tu es le meilleur. Je dois partir. Au revoir. » Une semaine plus tard, il était aux portes de Keligaan. Le guide le somma de le suivre. Ils partirent dans les montagnes, qui bordaient la forteresse de la ville. La neige ralentissait les montures, et les réflexes. Les pentes étaient ardues, et de l’autre côté des murs de glace la mort semblait les happer. Sur le chemin étroit, les deux hommes avançaient en silence. Le vent glacé fouettait leur visage. Le soleil était caché par une épaisse couche de nuages, et tout était gris, blanc. Ils virent quand même le ciel s’assombrir, et s’arrêtèrent dès qu’ils trouvèrent un lieu à l’abri du vent. Le lendemain, le passage était en vue, l’ancien accès à la forteresse, il serait surement bouché. Le guide fit demi tour, et il fallait aller vite, car le guide donnerait probablement des informations à Gila dans deux jours. L’assassin avança, lentement, dans le boyau de la montagne. Sa torche devrait durer longtemps, mais il rencontra vite le premier éboulement. Il commença à déblayer. Il avait pensé à prendre un long bâton pour faire levier. Il passa assez vite, après avoir réussi à dégager une brèche. Les murs étaient humides, de l’eau suintait partout. Les éboulements étaient fréquents, mais ne bouchait pas toujours la voix, et étant mince, l’homme passait aisément. Il perdit vite la notion du temps. Soudain, il se retrouva dans un goulet, bloqué par une pierre énorme pierre : ce qu’il redoutait. Il s’en approcha pour la jauger. Gila était sûre de lui, sa prise de pouvoir avait été faite avec peu de morts (deux cent cinquante personnes) et n’avait provoqué aucune véritable émeute. C’était sa première grande victoire, il y a quinze ans maintenant. Aujourd’hui, de petites rébellions pousse de-ci, de-là, mais sont très vite réprimandées. Il n’y avait qu’une seule petite inquiétude. Mais celle-ci grandissait tous les jours. IL le traquait. Mais bon, bien protégé, dans sa forteresse, Gila ne courait pas vraiment de danger. Il était friable, ce rocher. Ça prendrait du temps de le dégager, mais il y arriverait. Un peu plus tard, malgré avoir totalement perdu la notion de temps, il savait que Gila saurai bientôt. Enfin, il pu passer. Sa torche s’était éteinte. Les réserves de nourriture étaient épuisées. Le sol ne glissait plus. Et très vite, il sentit un dallage sous ses pieds. Presque !! Un messager était venu aujourd’hui. Il faisait maintenant nuit depuis plusieurs heures. Il avait annoncés deux nouvelles, mais Gila n’avait entendu que la première. « Il y a deux jours, j’ai conduis un homme au passage sous la montagne, il m’a payé en pièce d’or, il voulait entrer dans la forteresse. » il allait arriver. IL était peut-être déjà là !! Les gardes étaient déjà devant le tunnel, il était bouché. Peut être qu’IL avait fait demi-tour !! Il y avait des respirations, pas loin. Quatre, environ. L’homme chargea son arbalète, laissa tomber sa cape, près à lancer ses couteaux et dégainer son épée courte. Arbalète dans la main gauche, couteau dans la main droite. Il entra en bondissant dans la salle, fit une roulade. Deux hommes avaient dégainé leurs épées, et étaient morts sur-le-champ, le troisième n’avait pas eu le temps de bander son arc qu’un couteau lui perfora le cerveau en passant par l’orbite droite. Ces hommes n’avaient vu qu’une ombre noire avant la mort. Une flèche atteint quand même l’homme, perforant la cuisse le part en part. L’archer mourut immédiatement après s’étouffaut dans le bouillou de sang qu’avait provoqué le couteau en sectionnant la carotide. Il ramassa ses couteaux, ses carreaux en les essuyant sur les vêtements des morts. Puis il fit un bandage avec une des capes. Bon, plus qu’à trouver la chambre de Gila, pensa t’il. La cuisse saignait beaucoup, et même avec le bandage de fortune, on pouvait le suivre à la trace. Il fallait aller vite, les gardes morts seraient sûrement bientôt découverts. Et lui peut de temps après. Il arma de nouveau son arbalète, au cas ou, et se préparait à dégainer son épée courte. Les couloirs étaient sombres et étroits, et il y avait peu de lumière. Mais il fallait monter, il était presque certain que la chambre de Gila était tout en haut, un vieux réflexe d’archer. Il entendit une patrouille qui arrivait, en face. Les gardes sont morts. IL est là. Mais il allait mourir. La salle était gardée. Et par trois fantassins et deux archers. Jamais il ne survivrait. Alors pourquoi il était impossible de se calmer ? En plus, il y avait un autre problème majeur. Mais il n’arrivait pas à y penser. L’assassin arrivait. Cet homme était une force de la nature, qui frappait depuis trop longtemps, instoppable. Mais cette fois, il mourrait, s’étouffant, se noyant dans son sang !! Agonisant par terre comme n’importe quel homme. Puis Gila lui trancherait la tête et la planterait sur un pieu au milieu de la cour de la forteresse. Avec l’inscription suivante « Voila ce que deviennent les légende qui attaque le maître des lieux ! » Les hommes l’interpellèrent - Hey, t’es qui toi ? - Un soldat, comme vous, j’ai fini ma ronde je vais dormir, tenta l’assassin. - Sa jambe saigne !! C’est lui ! Les cinq hommes avancèrent, épée à la main, lançant de grand rire. L’assassin leva lentement le bras gauche, se qui signifiait la mort de deux de ses hommes dans les secondes suivantes. Ce qui se passa. L’homme laissa tomba sa cape noire, et dégaina son épée courte. Il se rendit vite compte que les soldats étaient peu entraînés. Ils ne tentaient que des coups d’estoc. Il se débarrassa facilement des deux premiers, mais le dernier était doué, et surtout, avait plus de liberté de mouvement sans ses compagnons. Coup d’estoc et de taille s’enchaînaient, telle une danse répétée des milliers de fois. Tous les geste était précis calculés. Et le soldat était bien meilleur que l’assassin. Mais le savait-il ? La forteresse était en vu. Les hommes étaient pressés. Il parait que son grand général se terrait dans ses quartiers depuis qu’il avait reçu une lettre. La lame du soldat était vivent, longue, rapide et puissante. Mais l’assassin le tua, en lui transperçant la gorge. En vérité, c’est la peur qui l’avait vaincu. Le sang jaillissait et l’écoulait au sol. Alors l’assassin eu une idée. Une belle idée. Qu’il mit en place immédiatement. Puis il continua sa marcha dans le noir. Lorsqu’il trouva la salle, il s’en approcha tranquillement, discuta quelques minutes avec les gardes. Puis le jour commença à se lever, il dit que la relève allait arriver, il était en avance. Alors les autres partir. Tranquillement, l’assassin entra. - Bonjour Gila. - Bonjour, l’Ombre. C’est l’heure n’est ce pas ? L’assassin enleva sa capuche, c’était un homme d’un âge plutôt avancé, ses cheveux étaient grisonnants. Il tira l’épée sans faire de bruit. - La relève arrive, tu vas me tuer, mais ils t’auront. D’ailleurs, belle idée de voler un uniforme. - D’ailleurs ils verront bientôt celui qui a mes habits. Et mes armes. Personne ne saura que je suis en vie. Maintenant, fais tes adieux au monde, Gila. - Et l’Ombre de la Mort va me frapper. Dis moi… D’où vient ce surnom ? - Les surnoms, comme les noms, ne sont pas choisis par celui qui les porte. Le simple mot d’assassin me suffit. Mais si tu le veux vraiment, il paraîtrait que quand je frappe, les hommes ne voient qu’une ombre, puis la mort. Les troupes s’écrasèrent contre la forteresse. Le mur eu l’effet d’une petite digue petite face à un raz-de-marée, et Berani pénétra dans la forteresse aisément. À la tête de son armé, il répandait la mort et les défenseurs opposaient de piètres résistances. C’était vrai, Gila n’était plus. Et sa forteresse le suivrait dans la mort. Berani voulait la tête de ce traître au bout de son épée. Un corps passa par la fenêtre du donjon. Berani le reconnu immédiatement, et savait que le grand Gila s’était suicidé. La guerre était gagnée, la paix sera ramenée dans le pays. Il prendrait la place qui lui était dut, que ce traître de Gila lui avait volé. Kelin pris la lettre qu’il avait envoyé a Gila il y a maintenant un mois. Elle était toujours sur le bureau, couverte de trace de sueur, souvent relue. « Je suis l’Ombre de la Mort, et le moment est venu pour toi de mourir. Sache que rien ne m’arrêtera, tu as été trop loin. Fait tes adieux au monde, roi déchu. On se retrouvera en enfer, et si possible, ne me pardonne pas. » Le corps de la légende des assassins fut retrouvé, ainsi que ses armes. Ils finirent dans un musée de la guerre que Berani fit construire dans la capitale. Les armes furent données à un vieil homme par Berani lui-même, l’année suivante. EDIT : Aucun courageux ? ça m'étonne pas :rire:
Message modifié par ryomaanime le mardi 3 janvier 2012 à 18:45
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Foudre
Compte supprimé
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J'ai tout lu :classe: et je trouve ça pas mal !
Je suis courageux :classe: :classe: :classe: :hi: :hi: :hi:
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pure-sang78
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Les prévôts de la nuit
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tu n'est pas courageux tu est euh... coment o nappelle sa deja ? moi j'ai trop mal au n'yeux pour lire ! sa veut dire quo ien gros ?
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ryomaanime
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La guilde des sanguinaires
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Rien de spécial, c'est un texte.
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wallaby
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demande autorisation de le photocopier pour ne pas bousiller mes yeux :hi:
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ryomaanime
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La guilde des sanguinaires
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Accordé :rire:
sur un document word les lignes sont deux fois plus longues, ça aide déjà... Prend plutôt celui-ci, j'y ai corrigé des fautes. https://docs.google.com/document/d/1AA6mPpmtNTZ1Ltn40hTYoV844YStdC30nlbZdDTlew4/edit Ah tiens, le fofo aime pas les https, on dit à Xenon ou c'es normal?
Message modifié par ryomaanime le mercredi 29 février 2012 à 15:12
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wallaby
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Les prévôts de la nuit
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merci Ryo' dis le au cas ou ^^'
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ryomaanime
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La guilde des sanguinaires
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Je sais pas, ça me semble normal étant donné que les https sont des sites sécurisés...
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ChupaChups
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Les trappeurs de l'instinct
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j[couleur=#4B47AD]'ai lu, j'adore:pensif:[/couleur]
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ryomaanime
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Merci !
tiens, d'ailleurs, Walla n'a pas dit ce qu'il en pensait^^
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wallaby
Inscrit depuis 4911 jours
Les prévôts de la nuit
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salut ryo' désolé d'avoir mis tant de temps pour le lire x)
j'ai lu le texte entier^^', j'aime bien mais je trouve ça assez imprécis, je me suis perdu au début entre l'assassin et Berani en fait je me suis perdu pas mal de temps ^^', et je sais pas ce que t'as contre l'orbite droit XD question: t'as fais de l'escrime??? :confus: dans l'ensemble ça va, mais faut juste améliorer la liaison entre les événements et clarifier tout ça en ajouttant un peu plus de description a certains endroit et il faut en enlever a certains endroits :)
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